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RHEVE-MEYZIEU

Recherches Historiques En VElin

Recherche N° 1

Janvier 2018

Pierre Chenevaz

Pierre Chenevaz, 1705-1764

né le 11 août 1705 à Meyzieu

marié en 1742 avec Françoise Broal, 1708-1771

3 enfants :

François (1743-1743), Charles François (1744-1795) et Philibert (1746-1800)

mort le 20 décembre 1764 à Meyzieu

Notaire royal

Fils de Claude Chenevaz

Recherche N° 2

Février 2018

Mémoire contre le projet d'implantation d'un cimetière aux Plantées

Extrait du mémoire réalisé par le curé de Meyzieu donnant plusieurs arguments contre le transfert du cimetière aux Plantées. (Archives municipales de Meyzieu)

Recherche N°3 Mars 2018

Philippe Cumin

 

Soldat de la Grande Armée, premier majolan à obtenir la légion d'honneur

Acte de naissance

de Philippe Cumin

Philippe Cumin, 1776-1840

Il est né le 15 mars 1776 à Meyzieu d’un père laboureur, Jérôme Cumin et de Françoise Bouvier , son parrain est Philippe BOUVIER, oncle maternel, habitant de Charpieu. C'est à seize ans que CUMIN partit pour rejoindre l'armée  Il entra en service comme simple volontaire le 10 avril 1791 dans le 5ème bataillon de l'Isère, devenu, par suite d'organisation, 4ème régiment d'infanterie légère, et fit les guerres de 1792 à 1795 à l'Armée des Alpes. Passé à l'Armée d'Italie, il s'y distingua par sa bravoure pendant les campagnes de l'an IV et l'an V, notamment le 17 brumaire an IV, à la bataille de Rivoli, où il reçut un coup de feu à la cuisse droite. Caporal le 10 germinal suivant, fourrier le 21 prairial an V, sergent le 14 floréal an VI, Cumin suivit l'armée d'Orient en Égypte et en Syrie. Il se signala le 3 thermidor an VI à la bataille des Pyramides où, entouré par plusieurs Mameluks, en tua un, en blessa 2, et mit les autres en fuite. Il donna de nouvelles preuves de valeur devant St-Jean-d'Acre : avec quelques hommes seulement, il repoussa une sortie exécutée par un corps turc fort nombreux, le poursuivit, lui fit éprouver de grandes pertes et le contraignit à rentrer dans la place. Sergent-major le 19 messidor an IV, Cumin reçut, après sa rentrée en France, le brevet d'un sabre d'honneur qui lui fut accordé par arrêté du Premier Consul du 10 prairial an XI. Il fit avec une égale distinction les campagnes de 1806 et 1807 en Autriche, en Prusse et en Pologne. Il fut nommé sous-lieutenant le 14 juillet 1807. Envoyé en Espagne, il y combattit avec sa valeur habituelle et il fut fait prisonnier par la Anglais, lors de l'évacuation de la ville portugaise par les troupes françaises. « Il fut prisonnier des Anglais pendant 5 ans, de 1809 à 1814 nous affirme une lettre d'un de ses descendants datée de 1880 à Genas et adressée aux Archives militaires où elle se trouve. Philippe Cumin rentra dans son Dauphiné natal en 1814. Dès la restauration, on retrouve enfin trace de ce fils de laboureur dans les registres de l'état civil de notre canton : il se marie à Genas avec Marie Guillermin, dont il a, nous précise son testament aux archives départementales de l'Isère à Grenoble, six enfants ; un seul, le dernier, est un garçon qui perpétuera le nom de CUMIN à Meyzieu (le prénom des autres enfants, des filles, rappelant les membres de la famille impériale : Caroline, Pauline…). Sorti du 4ème régiment d'infanterie légère, ayant bourlingué du Caire à Lisbonne, d'Italie en Espagne, de la boue de Pologne au soleil brûlant du Moyen Orient, Philippe Cumin a sûrement eu beaucoup à raconter à ses enfants, retiré dans sa paisible campagne du Dauphiné à Genas, où il devait mourir en 1840, année du retour des cendres de l'Empereur ». Communication de Monsieur Yves Blanc, instituteur à l'École de la Jacquière à Meyzieu, le 1er avril 1979 au Congrès de printemps du groupe "Évocations" de Meyzieu

"Pendant la lutte corps à corps, le sergent CUMIN, entouré de plusieurs mamelouks, en tue un, en blesse deux, et met les autres en fuite".

Historique du régiment de Philippe Cumin, lors de la bataille des Pyramides contre les Mameluks, 21 juillet 1798

"Avec quelques hommes seulement, le sergent Cumin repoussa une sortie exécutée par un corps turc fort nombreux, le poursuivit, lui fit éprouver de grandes pertes et le contraignit à rentrer dans la place".  Bataille de Saint Jean d’Acre, 7 avril 1799

Recherche N°4
Avril 2018

Train Touristique de Meyzieu

Au début des années 1960, Meyzieu est une ville en plein essor qui conserve toutefois un paysage agricole. C’est dans cet environnement que naît l’idée d’un train touristique.

Son histoire débute en 1959 lorsque Jean ARRIVETZ (Attaché à la Direction de la Compagnie des Omnibus et Tramways Lyonnais et Historien des réseaux de chemins de fer secondaires) recherche un emplacement pour construire et exploiter un chemin de fer attractif et touristique. Très vite, il exprime son intérêt pour la commune de Meyzieu. Le projet suscite l’enthousiasme du maire Antoine VACHER. Le 27 novembre 1959, lors d’une première délibération, le conseil municipal accorde à Jean ARRIVETZ la concession d’un terrain pour « l’exploitation d’un chemin de fer d’intérêt local à caractère touristique » pour une durée de 49 ans. Le chemin de fer partirait de la Route de Jonage et desservirait la plage du Grand Large. Le Chemin de Fer Touristique de Meyzieu (C.F.T.M.) est ainsi créé en 1960 par Jean ARRIVETZ et un groupe « d’amateurs ferroviaires ». Une nouvelle délibération du 7 novembre 1960 approuve la modification du tracé. Dès lors, « la ligne emprunte sur toute sa longueur les délaissés de la Route du Pont d’Herbens » et l’autorisation de la concession pour 49 ans est réaffirmée.

Cependant, le 9 mai 1962, le préfet de l’Isère n’approuve pas la délibération du conseil municipal du 7 novembre 1960, ce qui va modifier les conditions d’exploitation du terrain : les parcelles du domaine public communal ne sont mis à la disposition de la société qu’à titre précaire et révocable. La concession pour 49 ans ne prévaut plus. La commune ne peut garantir l’exploitant contre la concurrence.

En dépit de cette évolution réglementaire, le Chemin de Fer Touristique de Meyzieu est inauguré le 24 juin 1962.

Mais en 1965, la société prend conscience à ses dépens de la précarité et de la révocabilité des terrains exploités. Devant l’urbanisation croissante, les choix de la municipalité diffèrent des intérêts de la C.F.T.M. Jean COURJON, nouveau maire de Meyzieu, lève l’autorisation municipale accordée à Jean ARRIVETZ quelques années plus tôt pour élargir la rue Victor Hugo (ancienne Route du Pont d’ Herbens). Au début des années 1970, le Chemin de Fer Touristique de Meyzieu est donc contraint de cesser son activité.

Après la fin de la desserte du Grand Large, les exploitants du Chemin de Fer Touristique de Meyzieu reprennent le Chemin de Fer du Vivarais, en Ardèche, supprimé en octobre 1968. La ligne Tournon – Lamastre de 33 kilomètres transformée en un chemin de fer touristique est inaugurée le 14 juin 1969. La société "le Chemin de Fer Touristique de Meyzieu" prend alors le nom de "Chemins de Fer Touristiques et de Montagne" tout en conservant le même sigle (C.F.T.M.).

Pendant une dizaine d’années, Meyzieu a donc bénéficié d’une ligne touristique longue de 1,4 kilomètres. Partant du lieu dit "Le Carreau" et terminant son voyage au Grand Large, le train touristique a connu un vif succès notamment les dimanches d’été. L’objectif de cette entreprise était « d’exploiter de façon attractive un nouveau chemin de fer à traction vapeur sur voie étroite, ayant un caractère de Musée vivant ». Le C.F.T.M. utilisait 7 locomotives à vapeur, 3 diesels, 1 automotrice et 9 voitures à voyageurs. Mais ce matériel roulant n’avait pas pour première vocation le transport touristique. Citons par exemple la locomotive à vapeur "La Coquette" construite en 1912 et destinée d’abord aux carrières de Courzieu mais aussi l’automotrice "La Savoyarde" construite en 1928 pour Chambéry – Le Bourget. D’autres locomotives ont aussi droit à une deuxième vie telles "La Majolane", "La Beaujolaise", "La Bourgogne" ou "Le Tortillard".

Aujourd’hui encore le matériel du Chemin de Fer Touristique de Meyzieu continue de circuler en Isère sur le Chemin de Fer Touristique du Haut-Rhône à Montalieu.

 

 


Recherche N°5
MAI 2018

Mariage de Richarde Genevey le lundi 8 mai 1690


Logis de la Croix Blanche à Meyzieu.


 


Richarde va épouser Jean Montey, maître tonnelier près de Saint Romain. Richarde Genevey est veuve de François Doinville Laverdure. Elle tient le Logis de la Croix

 

Blanche dont le propriétaire est Claude Quinon.

 

 

Jean et Richarde, tous deux majeurs et maîtres de leurs droits décident de s’épouser mutuellement devant Dieu, sachant qu’il n’y a aucun empêchement à ce mariage.

 

 

Jean Montey possède 1500 livres, une maison couverte en tuille, des dépendances, un jardin et une chenevière qui sont situés à Serrier.


 

Richarde Genevey possède des meubles, du bétail, de l’argent, des denrées dont un inventaire sera fait et elle remet tous ses biens à son époux. Richarde a aussi des

 

prétentions sur les héritages de ses parents.

 

 

Les époux se font donation mutuelle de 300 livres. Jean promet de donner à Richarde des bijoux et des vêtements.


 

Sont témoins Pierre Estèphes et Jean Pollet, marchands de Meyzieu, Guillaume Gilbert et Benoit Michallet, laboureurs de ¨Pusignan. Pierre Estèphes et Jean Pollet ont

 

signé.

Recherche N° 6
Juin 2018

Lettre adressée par l'assemblée de la communauté de Meyzieu  au bureau des Finances de Vienne concernant des réclamations par rapport à la taille.